dimanche, 12 avril 2020
Paysage pour Pâques
10:05 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 11 avril 2020
Arbre ou Ciel (II)
Frédéric Tison, Arbre ou Ciel (II),
pastel sur papier grain satiné blanc,
26 x 36 cm, avril 2020.
13:41 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
Où je lis Verlaine (1)
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CLAIR DE LUNE
Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L'amour vainqueur et la vie opportune
Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
Paul Verlaine
(La page filmée provient de l'ouvrage « Verlaine, Fêtes galantes », "L'Œuvre manuscrite", Bibliothèque de l'image, 1997.)
07:47 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 10 avril 2020
Arbre ou Ciel
Frédéric Tison, Arbre ou Ciel,
pastel sur papier grain satiné blanc,
26 x 36 cm, avril 2020.
11:02 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Recouvrir
La musique recouvre la vie.
09:42 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 09 avril 2020
L'Arbre aux oiseaux blancs
14:13 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Où je lis Mallarmé (1)
LE PITRE CHÂTIÉ
Yeux, lacs avec ma simple ivresse de renaître
Autre que l’histrion qui du geste évoquais
Comme plume la suie ignoble des quinquets,
J’ai troué dans le mur de toile une fenêtre.
De ma jambe et des bras limpide nageur traître,
À bonds multipliés, reniant le mauvais
Hamlet ! c’est comme si dans l’onde j’innovais
Mille sépulcres pour y vierge disparaître.
Hilare or de cymbale à des poings irrité,
Tout à coup le soleil frappe la nudité
Qui pure s’exhala de ma fraîcheur de nacre,
Rance nuit de la peau quand sur moi vous passiez,
Ne sachant pas, ingrat ! que c’était tout mon sacre,
Ce fard noyé dans l’eau perfide des glaciers.
Stéphane Mallarmé
(La page filmée provient du Tome I des Œuvres complètes de Mallarmé dans la Bibliothèque de la Pléiade, 1998.)
08:14 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
mercredi, 08 avril 2020
Un Arbre
10:00 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
mardi, 07 avril 2020
Où je lis La Table d'attente — Livre III, poème VIII
Où je lis un poème extrait du livre
paru en 2019 aux éditions Librairie-Galerie Racine,
dans la collection Les Hommes sans Épaules,
La Table d'attente.
08:08 Écrit par Frédéric Tison dans Lectures, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
lundi, 06 avril 2020
Écrire
10:07 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 05 avril 2020
Le Moulin à vent
10:04 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |
Tapis de chiffons 30, par Cécile A. Holdban
Cécile A. Holdban, Tapis de chiffons 30,
une peinture et un vers sur un sachet de thé à assembler puis relier (avril 2020),
avec une citation de Frédéric Tison
extraite du livre Aphélie, suivi de Noctifer (2018) :
« Il y a autre chose que le vent dans le vent qui s'en va. »
(Photographie reproduite avec l'autorisation de Cécile A. Holdban.)
Cécile A. Holdban, poète, peintre et traductrice, a emprunté le titre de ce projet collectif au recueil de son poète hongrois préféré, Sándor Weöres. Elle réalise en ce moment une série de toutes petites peintures sur des sachets de thé recyclés. Elle a souhaité que (je cite la poète) « sur chacun de ces sachets devenu estampe, figure également un vers unique — comme faisait René Char sur ses galets ou ses écorces (....), pour, à la manière d’un cadavre exquis, composer un patchwork pictural et poétique. Comme une fenêtre toujours ouverte sur le monde ».
Mes plus vifs remerciements à la poète et peintre.
09:32 Écrit par Frédéric Tison dans Une petite bibliothèque | Tags : cécile a. holdban, tapis de chiffons, frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
samedi, 04 avril 2020
Autoportrait avec un oiseau
18:17 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, autoportrait, photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Par la fenêtre
11:05 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
vendredi, 03 avril 2020
Paysage avec une absence
12:54 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |