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mercredi, 13 décembre 2017

Le voyage sur un manteau

 

 

 

 

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Noël-Nicolas Coypel (1690-1734), Saint François de Paule avec ses compagnons 
traversant le détroit de Messine sur son manteau
(1723),
peint pour le couvent des Frères minimes de la Place Royale, à Paris,
à l'exposition "Le Baroque des Lumières : chefs-d’œuvre des églises parisiennes",
au Petit Palais, à Paris, photographie : avril 2017.

 

 

 

 

mardi, 12 décembre 2017

Les clefs

 

 

 

 

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Jean Restout (1692-1768), détail de Saint Pierre en prière (1728),
provenant de l'église Saint-Jacques-du-Haut-Pas, à Paris,
à l'exposition "Le Baroque des Lumières : chefs-d’œuvre des églises parisiennes",
au Petit Palais, à Paris, photographie : avril 2017.

 

 

 

 

lundi, 11 décembre 2017

L'origine du partage

 

 

 

La question que je dois sans cesse me poser est la suivante : qu'ai-je à dire et à montrer à tous, lorsque (et même si) je sais que seulement quelques-uns en auront connaissance et que très rares, parmi ces derniers, seront ceux qui répondront, qui feront signe ?

 

(L'absence de réponse peut être un leurre : je n'ignore pas que certains pensent qu'ils ne sont pas capables de dire, et que d'autres préfèrent seulement ne pas parler.)

 

 

 

 

17:53 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Apothéose du sublime

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage orageux (Musée des beaux-arts de Lyon),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

dimanche, 10 décembre 2017

Argenteuil vers 1820

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Le Moulin d'Argenteuil (Musée des beaux-arts de Pau),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

samedi, 09 décembre 2017

Paysage crayeux

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage crayeux au moulin (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

 

Ciels des Heures

 

 

 

      Tout flâneur amoureux, lors d'une exposition de tableaux, a l'occasion d'entendre des sottises : il y a presque toujours quelqu'un pour déclarer que tel tableau n'irait pas très bien dans son salon, ou bien au contraire qu'il irait très bien au-dessus du canapé. L'un s'esclaffe et prétend que décidément son fils ferait aussi bien que le peintre, quand l'autre fait la moue devant ce qu'il qualifie de « banal » ou de « déjà vu ». Lorsque je visitai l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime » au monastère royal de Brou, peu de monde, bienheureusement, était présent ; j'eus cependant le loisir d'entendre un visiteur s'exclamer que tous les tableaux du maître se ressemblaient, que ce n'était là que des variations, sans grande variété ni originalité, sur un même motif. Quelle erreur, quelle absence de regard ! Bien sûr, le peintre dessina essentiellement des paysages ; bien sûr, dans la peinture renouvelée des ciels résident sa recherche et son génie. Mais qui niera que chaque ciel est unique, dans ses toiles, et qu'il s'agit là d'une poursuite éperdue de la peinture d'un instant, que cet instant soit celui du matin, de l'après-midi, du soir, que cet instant soit celui qui précède immédiatement l'orage, qu'il soit celui d'un soleil violent, qu'il soit celui de la pluie, ce jour-là, à cette heure précise ? Chaque nuance, chaque couleur du ciel et des nuages, sont une œuvre unique, magnifique, essentielle pour le peintre de Montmartre. Ce visiteur n'avait pas vu que Georges Michel était le peintre des Heures du ciel.

 

 

 

 

 

La pêche

 

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), La Pêche (Collection privée),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

vendredi, 08 décembre 2017

Peinture du vent

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Moulin et coup de vent d'orage
(Musée des beaux-arts de Valenciennes),

à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

jeudi, 07 décembre 2017

L'immense

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), L'Orage (Vue de Paris des hauteurs de Meudon ?)
(Collection particulière, Paris),

à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

Paysage avec des chaumières

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage (Musée Jeanne d'Aboville à La Fère),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

mercredi, 06 décembre 2017

Ciel d'automne

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage d'automne (Musée des beaux-arts de Brest),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

Paysage avec un chasseur

 

 

 

 

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Georges Michel (1763-1843), Paysage avec un chasseur (Musée des beaux-arts de Brest),
à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime »,
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

 

mardi, 05 décembre 2017

Le pont qui menait à une ville

 

 

 

 

 frédéric tison, photographie, georges michel, pont menant à une ville

 

Georges Michel (1763-1843), Pont menant à une ville
(Fondation Custodia, Paris, Collection Frits Lugt),

à l'exposition « Georges Michel, le paysage sublime », 
au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, photographie : octobre 2017.

 

 

 

 

L'irrésistible

 

 

 

Je ne parle presque que des ciels, chez Georges Michel ; bien sûr, il y a la terre aussi, il y a les moulins, et parfois toute une petite foule de personnages. Mais les toiles de Georges Michel font d'abord lever les yeux. Ce sont des ciels irrésistibles.