lundi, 13 novembre 2023
De la symétrie
Les châteaux et certains jardins classiques d'Europe du XVIIe siècle (enfin, depuis la fin du XVIe siècle), qui sont la symétrie même, sont l'horizon de notre asymétrie humaine.
17:19 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
A lovely night
17:18 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Ce garçon-là
Je raconterai mon histoire à un garçon de la galaxie d'Andromède.
(Mais tu la connais déjà peut-être, je ne sais plus où je suis, dans le temps, n'est-ce pas, toi ?...)
17:18 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Marginalia, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Des nuques
J'aime les nuques. Même, j'en ai la passion. Je dispose de toute une collection de photographies que j'ai faites de certaines d'entre elles, parmi ceux que j'ai aimés.
J'aime, en contemplant ces images, ces souvenirs, deviner le visage de celui qui se retournera vers moi.
17:17 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
D'un résumé
Le château de Champs, que j'aime follement, que je trouve si beau, est le résumé d'une phrase française sur une façade de pierre.
17:17 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
De la mort
17:17 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Et ses yeux ne peuvent que regarder mon visage
17:16 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Phrases du Maitre
21 avril 1915 journal de Sibelius : "Aujourd'hui à onze heures moins dix, j'ai vu seize cygnes. Une des plus grandes expériences de ma vie ! Dieu, quelle beauté ! Ils ont longtemps et magnifiquement tournoyé au-dessus de moi. Ont disparu dans la brume ensoleillée comme un ruban d'argent brillant par moments."Leurs cris avaient le même timbre d'instrument à vent que ceux des grues, mais sans trémolos. Les cygnes sont plus proches des trompettes, avec quelques éléments de sarrusophone. Comme un refrain rappelant dans le registre grave les larmes d'un petit enfant. Mystique de la nature et malheurs de la vie ! Le thème du finale de la Cinquième symphonie. Trompettes en legato. Je dois maintenant me pénétrer de ce qui si longtemps m'est resté extérieur. Aujourd'hui, 21 avril 1915, j'ai été transporté dans les hauteurs."
24 avril 1915 Journal de Sibelius "Les cygnes ne quittent pas mon esprit et donnent à la vie son lustre. C'est curieux mais rien au monde, que ce soit l'art, la littérature ou la musique, ne produit sur moi le même effet que ces cygnes, grues et oies sauvages.
17:16 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Jean venturini
17:16 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Du prénom et du tutoiement
« Bonjour Frédéric ! » m'écrit une plateforme bancaire. « Vous revoilà, Frédéric ! » me dit une autre, sur un site administratif. « Frédéric, profitez de nos offres exclusives [Tu parles !] », est-il inscrit sur une brochure publicitaire. Etc.
Je me souviens très bien qu'auparavant l'on s'adressait à moi, à l'occasion de ces missives diverses, en me donnant du "Monsieur Frédéric Tison", ce qui m'apparaissait tout à fait correct. Puis cela devint le laid "Mr TISON Frédéric" (le "Mr" étant, de plus, fautif : M., c'est l'abréviation de Monsieur ; Mr, c'est celle de Mister). Désormais, c'est "Frédéric".
Mais de quel droit se permet-on de m'appeler par mon prénom ? Bientôt, va-t-on me tutoyer dans des messages administratifs ? Et puis quoi encore ? Cette fausse familiarité se répand peu à peu sur les affiches publicitaires dans le métro, où fleurit le tutoiement
Je ne tutoie ni n'appelle par leurs prénoms que mes parents proches, mes amis intimes et quelques autres que je n'ai pas à mentionner ici.
Je devrais "dé-tutoyer" certaines personnes, me semble-t-il, lesquelles ne me sont rien. Mais cela apparaîtrait comme une muflerie, sans doute.
17:15 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Tags : frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
D'une soirée à l'Espace André-Chedid
17:15 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
10 juin 2022
"Acheté hier au marché de la Poésie, le recueil de poèmes de Frédéric Tison :
"Dialogues autour d'un prince ému"
(Ed. Les Lieux-Dits — Cahiers du Loup bleu).
C'est magnifique de bout en bout.
Jugez plutôt à partir de ce très bref extrait,( mais tout est à l'avenant )
": _ Qu'est-ce que le vent ? / —C'est le temps qui respire. / — Qu'est-ce que le temps ? / — C'est une herbe sous le vent. ".
Pure poésie, telle que je la rêve. Si m'en croyez, précipitez-vous chez Germain Roesz, son cher éditeur !"
Jacques Robinet
17:14 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus | Tags : dialogues autour d'un prince ému, jacques robinet, frédéric tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
"Tes Paumes, Ameinias" : un petit livre d'artiste
Tes Paumes, Ameinias : un petit livre d'artiste, par Frédéric Tison,
poème manuscrit & minuscules peintes,
sur papier noir et papier blanc,
cinq exemplaires uniques, prix : 50 euros.
17:14 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
D'une collection particulière
J'ai, chez moi, des œuvres originales importantes dont j'aimerais qu'à ma mort elles ne finissent pas à poubelle :
Encres :
30 encres environ de Renaud Allirand
2 gravures de Renaud Allirand
Photographies :
Misfortunes, par Simon Huw Jones (vers 1999)
4 photographies peintes sans titre, par Sylvie Ledouxe, années 2000-2015.
Gravures :
Danièle Berthet
Hiroko Okamoto
Peintures :
6 peintures de diverses (petits formats), par James Purpura
Kostia Terechkovitch [Femme élégante]
Dessins :
Damien Brohon
Œuvres antiques
Silène
17:13 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Des "Confessions"
Lors de mes innombrables attentes, je relis Les Confessions de saint Augustin, ce livre magnifique et inestimable. J'y trouve non quelque illusoire consolation, mais une sorte de baume. L'homme n'aurait certainement pas pu trouver en moi un ami : ses autres écrits le montrent trop dogmatique. Je lui tends cependant la main à travers les siècles, ne serait-ce que parce que je sens désormais le temps tomber autour de moi.
17:13 Écrit par Frédéric Tison | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |