samedi, 28 juin 2014
L'ombre de l'oiseau
Il est très difficile, à Paris, de voir et, partant, de photographier les oiseaux qui sont là et qui chantent : ils sont là et ils chantent plus que jamais, mais ils sont cachés dans les arbres et les buissons, si bien qu'on croit que les arbres chantent (si bien qu'un sourd, dans son infortune, croirait volontiers que Paris n'accueille guère que ces pigeons qui passent leur temps à bêtement marcher...).
19:08 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscule, oiseau | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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