jeudi, 27 mars 2014
De la splendeur (et de la grandeur)
Je ne me sens nullement "écrasé" par la splendeur et la grandeur d'un lieu, d'un édifice ou d'un tableau ; le ver de terre, pour être, dans son amour, ébloui par l'étoile, voire anéanti, n'est pas moqué par elle. Ce lieu, ce château, cette cathédrale, ce paysage peint sont au contraire à l'image des ombres, des lumières, des espaces, des temps immenses où minuscule j'attendais.
08:54 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscule | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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