jeudi, 12 septembre 2013
Léthé antérieur
C'est quand on a quarante ans que l'on peut contempler, et savoir que les regards de nos vingt, de nos trente ans furent des abîmes, des oublis, des creux — des abîmes, des creux et des oublis nécessaires, jusqu'à ce que l'aperçu se dévoile avec la somme des années mortes et rêvées.
08:27 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules | Tags : frédéric tison, minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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