dimanche, 24 mars 2019
Poème de la quinzaine, mars 2019
J'ai l'honneur de figurer dans la livraison du Poème de la quinzaine de mars 2019 avec un poème qui fut tout d'abord publié dans l'anthologie La Poésie française, 100 ans après Apollinaire (Maison de poésie/Fondation Émile Brémont, novembre 2018). C'est ici :
Poème de la quinzaine, mars 2019.
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mardi, 12 mars 2019
Parution du n° 47 des Hommes sans Épaules
Le numéro 47 de la revue Les Hommes sans Épaules a paru. Parmi les nombreuses contributions, un dossier consacré à mes ouvrages, « La poésie de Frédéric Tison », par Paul Farellier, et, par votre serviteur, quelques textes inédits (extraits de mes Minuscules) ainsi que des notes de lecture. Le numéro peut être commandé ici.
(Veuillez cliquer pour agrandir les images.)
17:49 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Tags : les hommes sans épaules | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
jeudi, 17 janvier 2019
Les Hommes sans Épaules n° 47, mars 2019
Parution, annoncée pour le 18 mars 2019, du numéro 47
de la revue Les Hommes sans Épaules.
Sommaire sous réserve en ligne.
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mercredi, 22 août 2018
Siècle 21, n° 32, été 2018
Je signale la parution du numéro 32 (été 2018) de la revue Siècle 21. Avec de nombreux auteurs, j'ai contribué à l'un des dossiers de ce numéro (« L'Insolence »), dirigé par Gabrielle Althen et Marie-Claudette Kirpalani.
(Veuillez cliquer pour agrandir l'image.)
Pour se procurer ce numéro, c'est ici.
Accès direct au bon de commande.
14:03 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
dimanche, 19 août 2018
Possibles, nouvelle série, n° 35, août 2018
Le numéro 35 d’août 2018 de Possibles, nouvelle série, la revue en ligne de Pierre Perrin, a paru. Trois poèmes extraits de Aphélie, suivi de Noctifer (Librairie-Galerie Racine, collection Les Hommes sans Épaules, 2018) figurent dans la rubrique "Invitation".
Aphélie, suivi de Noctifer. Librairie-Galerie Racine,
collection Les Hommes sans Épaules, 2018.
07:45 Écrit par Frédéric Tison dans Revues, Une petite bibliothèque | Tags : aphélie suivi de noctifer | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 18 août 2018
L'incipit
Je signale la publication d'un extrait (l'incipit) de Selon Silène (L'Harmattan, 2018)
sur le blogue d'Étienne Ferdinand Ruhaud, Page Paysage, en ligne, 9 août 2018.
Selon Silène sur le site des éditions L'Harmattan.
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samedi, 09 juin 2018
Une note de lecture
Je signale la parution d'une note de lecture, par Jean-Louis Bernard, sur Aphélie, suivi de Noctifer (2018). On peut la lire dans la revue Diérèse, n° 73, été 2018, pp. 265-266.
Liste des recensions du n° 73 de Diérèse sur le site de la revue.
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mercredi, 06 juin 2018
Trois poèmes et une note
Je signale la parution de trois poèmes extraits d'Aphélie, suivi de Noctifer (2018), et d'une note de lecture, par Monique W. Labidoire, sur Le Dieu des portes (2016), dans Concerto pour marées et silence, revue, n° 11, juin 2018, revue dirigée par Colette Klein.
Veuillez trouver le bon de commande à cette adresse.
Page d'accueil du site de Concerto pour marées et silence, revue.
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lundi, 04 juin 2018
Une recension (en kiosque)
Je signale une recension, par Isabelle Lévesque, de Aphélie, suivi de Noctifer, dans La Nouvelle Quinzaine littéraire, n° 1195, 1er juin 2018, p. 5 (dans le dossier : "Que lire cet été ? / Parutions récentes, la sélection de La Quinzaine").
Site de La Nouvelle Quinzaine littéraire.
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mercredi, 23 mai 2018
Dans la revue Terres de femmes
Angèle Paoli me fait l'honneur d'accueillir
un poème extrait de mon livre Aphélie, suivi de Noctifer
(Librairie-Galerie Racine, coll. Les Hommes sans Épaules, 2018),
dans le n°162 de sa revue en ligne Terres de femmes.
C'est ici.
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vendredi, 02 mars 2018
Les Hommes sans Épaules, numéro 45
Parution du numéro 45 de la revue Les Hommes sans Épaules,
que le curieux peut se procurer à cette adresse.
N. B. : Aphélie, suivi de Noctifer, mon dernier livre paru en février 2018, s'y voit honoré d'une longue note de lecture, par Paul Farellier.
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samedi, 03 février 2018
Recours au poème n°104
En juin 2014, dans son numéro 104, la revue en ligne Recours au poème accueillait quelques-uns de mes écrits. Voici la page qui me fut consacrée, dans une présentation entièrement refondue récemment. C'est également l'occasion de découvrir ou redécouvrir les pages aussi diverses que riches de cette revue.
Poèmes choisis, dans Recours au poème.
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samedi, 16 décembre 2017
Carnet Louis Guillaume
Je signale la parution du Carnet Louis Guillaume n° 43, où figure, dans une "Petite Anthologie d'un concours" (le Prix Louis Guillaume 2017 pour lequel les ouvrages cités furent sélectionnés), un poème extrait du Dieu des portes.
Site de l'Association Les Amis de Louis Guillaume.
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mercredi, 30 août 2017
Entretien avec Jean-Paul Gavard-Perret
Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ?
L’espoir d’une rencontre : avec un livre, un paysage ou un être aimé.
Que sont devenus vos rêves d’enfant ?
Il me semble en avoir davantage aujourd’hui que lorsque j’étais enfant ; d’ailleurs, je ne me souviens plus de ces rêves.
À quoi avez-vous renoncé ?
À voir l’ensemble des pays, des villes, des palais, des lacs et des mers du monde.
D’où venez-vous ?
Je l’ignore. C’est pour moi une question vertigineuse.
Qu’avez-vous reçu en « héritage » ?
La langue française.
Qu’avez-vous dû “plaquer” pour votre travail ?
La pratique du piano, faute de temps.
Un petit plaisir – quotidien ou non ?
Boire une tasse de café, attablé à la terrasse d’une brasserie, et ne rien faire d’autre qu’observer le monde qui passe.
Qu’est-ce qui vous distingue des autres poètes ?
Rien de plus, rien de moins que ce qui distingue un homme d’un autre homme : si peu de choses, et tant de choses !
Comment définiriez-vous votre manière d’aborder le travail avec des artistes ?
Je pense être curieux de la création contemporaine ; je ne cesse d’arpenter les galeries d’art à la recherche de ce qui m’est encore inconnu. Je me sens très humble devant le savoir-faire des artistes dont les œuvres me plaisent : si j’écris quelques mots en relation avec ces œuvres, c’est pour instaurer une forme de dialogue, comme on parle en poésie d’un chant amébée ; aussi dirai-je qu’il s’agit essentiellement d’un échange et d’un partage de regards.
Quelle fut l’image première qui esthétiquement vous interpella ?
Je crois bien que ce furent les peintures du plafond de la Galerie des Glaces du château de Versailles ; je devais avoir huit ou neuf ans.
Et votre première lecture ?
Ma première « vraie » lecture fut certainement, à l’adolescence, celle des « Fleurs du mal ».
Quelles musiques écoutez-vous ?
J’aime presque toute la musique, de Guillaume de Machaut à Arvo Pärt, même si mes plus grandes amours vont à Purcell, Bach, Mozart, Tchaïkovski, Sibelius, Ravel et Debussy.
Quel est le livre que vous aimez relire ?
Il y en a plusieurs : la Bible, les Métamorphoses d’Ovide et Les Fêtes galantes de Verlaine. J’aime aussi beaucoup me replonger dans Hérodote, dont L’Enquête est inépuisable.
Quel film vous fait pleurer ?
Je fus bouleversé par Je suis le Seigneur du château, de Régis Wargnier.
Quand vous vous regardez dans un miroir qui voyez-vous ?
Quelqu’un qui s’étonne de dire « je ».
À qui n’avez-vous jamais osé écrire ?
Écrire, et publier, c’est oser s’adresser à tous.
Quel(le) ville ou lieu a pour vous valeur de mythe ?
« Mythe » est peut-être un terme un peu trop fort, mais je dirais la ville de Tübingen, où Hölderlin vécut ses derniers jours, Ninive, l’ancienne ville de l’Assyrie, et les plages et les ports de la côte normande, qui sont pour moi des lieux presque saturés de souvenirs, de légendes, d’histoire et de beauté.
Quels sont les écrivains et artistes dont vous vous sentez le plus proche ?
Parmi les étoiles les plus brillantes de ma constellation d’écrivains figurent Ovide, les romanciers médiévaux de la Quête du Graal, Pétrarque, Maurice Scève, Frédéric Hölderlin, Charles Baudelaire, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, Guillaume Apollinaire, Pierre Jean Jouve, Antonin Artaud, François Augiéras, Marguerite Yourcenar, Paul Gadenne, Paul Farellier ; et, dans mon musée imaginaire, je place les peintres chinois des périodes classiques, les miniaturistes persans, Fra Angelico, Carlo Crivelli, Herri met de Bles, Rembrandt, Claude Gellée, Hubert Robert, Georges Michel, Gustave Moreau, Edvard Munch, Nicolas de Staël… sans oublier les peintres, graveurs et photographes (Sylvie Ledouxe, Damien Brohon, Sophie Courtant, Renaud Allirand, Marc Tanguy, Danielle Berthet) avec lesquels j’eus le plaisir de concevoir des cartes d’art et des livres d’artiste.
Qu’aimeriez-vous recevoir pour votre anniversaire ?
Un exemplaire de l’édition originale (1544) de Délie, Objet de plus haute vertu, de Maurice Scève. Un donjon du XIIIe ou du XIVe siècle, dans un grand parc, me ferait grand plaisir aussi.
Que défendez-vous ?
La langue française, les paysages, les belles demeures ; la poésie et les arts de tous les siècles et de tous les pays.
Que vous inspire la phrase de Lacan : “L’Amour c’est donner quelque chose qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas”?
J’en pense que trop parler de l’amour est suspect.
Que pensez-vous de celle de W. Allen : “La réponse est oui mais quelle était la question ?“
Elle me fait penser aux mots d’Angelus Silesius : « La rose est sans pourquoi ».
Quelle question ai-je oublié de vous poser ?
Qu’est-ce qu’un poème ?
Entretien et présentation réalisés par Jean-Paul Gavard-Perret pour lelitteraire.com, le 20 août 2017.
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