La presque nue

 

 

 

 

 

Statue de reine (Égypte, IIIe siècle av. J.-C.), granit noir, détail,
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

 

Sérapis

 

 

 

 

 

Tête de Sérapis (Égypte, IIe siècle av. J.-C.), marbre,
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

La déesse hippopotame

 

 

 

 

 

Thouéris (nom grécisé) ou Taouret, déesse hippopotame de la fécondité et de l'accouchement,
(Égypte, période saïte, XXVIe dynastie, 664-525 av. J.-C.), grauwacke (roche sédimentaire),
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

La bouche de Silène

 

 

 

 

 

Vase à boire : Silène ? (*)
(Égypte, Alexandrie, fin du Ier s. av. J.-C. - début du Ier s. ap. J.-C.), céramique,
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

___________
(*) Qui en douterait ?...

 

 

 

L'inauguration

 

 

 

 

 

Détail de la plaque de fondation du Sérapéion d'Alexandrie, temple de Sérapis,
(Égypte, sous Ptolémée III : 246-221 av. J.-C.), or,
exposition "Osiris - Mystères engloutis d'Égypte",
à l'Institut du Monde arabe, Paris V,
photographie : février 2016.

 

 

 

 

Dans un atelier

 

 

 

 

Alessandro Magnasco (1667-1749), Portrait symbolique de l'artiste (vers 1730),
exposition "Alessandro Magnasco, les années de la maturité",
à la Galerie Canesso, au 26, rue Lafitte, Paris IX,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Toute l'eau de la mer

 

 

 

 

 

 Alessandro Magnasco (1667-1749), Saint Augustin et l'enfant (vers 1740), détail,
exposition "Alessandro Magnasco, les années de la maturité",
à la Galerie Canesso, au 26, rue Lafitte, Paris IX,
photographie : janvier 2016.

 

 

(Selon les moines médiévaux qui aimaient à se raconter cette histoire, saint Augustin, un jour qu'il se promenait au bord de l'océan, cherchant à pénétrer le mystère de la Trinité, avisa soudain un jeune enfant qui allait et venait sans cesse du rivage à la mer. L'enfant avait creusé un trou dans le sable où il versait l'eau dont il avait rempli des coquillages.

Intrigué, l'évêque d'Hippone demande à l'enfant la raison de son manège :

— J'essaie de mettre toute l'eau de la mer dans ce cratère, répond l'enfant.

— Voyons, mon enfant, ce n'est pas possible ! s'exclame le théologien.

— C'est vrai, dit l'enfant. J'aurai cependant puisé toute l'eau de la mer avant que vous ayez compris le mystère de la Sainte Trinité.)

 

 

 

Silène se repose

 

 

 

 

 

Alessandro Magnasco (1667-1749), Le Repos de Silène dans un décor de ruines (vers 1725-1730),
exposition "Alessandro Magnasco, les années de la maturité",
à la Galerie Canesso, au 26, rue Lafitte, Paris IX,
photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Silène porté

 

 

 

 

Vase Borghèse, cratère à décor dionysiaque (vers 40-30 av. J.-C.),
détail : Silène porté par un satyre,
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Le visage

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Autoportrait (vers 1522-1524), sanguine,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Le vieil homme et le livre

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Vieil homme barbu consultant un in-folio,
plume et encre brune, lavis brun,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

Marsyas tirant la flûte de l'eau

 

 

 

 

Parmigianino (1503-1540), Marsyas tirant la flûte de l'eau,
plume et encre brune, lavis brun, rehauts blancs au pinceau,
exposition "Parmigianino (1503-1540) - Dessins du Louvre",
au musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

Une somme de lenteur

 

 

 

C'est peut-être la lenteur qu'aime notre regard devant un tableau contemplé et aimé, davantage que le temps suspendu qu'il suppose parfois, davantage que le passé qu'il représente dans l'éternel instant du dessin et de la couleur. De même qu'il est une peinture silencieuse, celle, notamment, des natures mortes, il est une peinture lente, qui ne saurait être indolente ni paresseuse : sa lenteur est celle des immenses allées, des lointaines perspectives de Le Nôtre, et des hauts arbres qui les bordent.

 

 

 

Un visage

 

 

 

 

 

 

 

Andrea della Robbia (1435-1525), détail (un des apôtres) de L'Ascension du Christ (vers 1490),
partie centrale d'un retable après restauration et remontage,
provenant de l'église Sant'Agostino à Città di Castello (Ombrie),
terre cuite émaillée, musée du Louvre, photographie : janvier 2016.

 

 

 

 

 

Le buste du Maître

 

 

 

 

 

Auguste Rodin (1840-1917), Victor Hugo (1899-1900, bronze fondu en 1908),
dans la maison de Victor Hugo,
au 6, place des Vosges, à Paris IV,
photographie : janvier 2016.