mercredi, 10 janvier 2018
Hölderlin par Jouve
Rappel : Friedrich Hölderlin dans Les Lettres blanches.
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Friedrich Hölderlin : Folie et génie, par Pierre Jean Jouve (1951/France Culture).
Diffusion sur la Chaîne Nationale le 23 octobre 1951.
Réalisation : Roman Kowaliczko. Photographie de Pierre Jean Jouve : © Granger Historical Picture Archive/
Alamy Stock Photo. Franz Karl Hiemer, Portrait de Friedrich Hölderlin (1792).
« Lui-même traducteur, avec Pierre Klossowski, des Poèmes de la folie, Pierre Jean Jouve proposait quarante minutes en compagnie du poète allemand Friedrich Hölderlin, que le psychanalyste Jean Laplanche devait coucher sur son divan, plus d'un siècle après sa mort. Avait-il trouvé les clés de la folie du génial Hölderlin, que d'autres avant lui, et après lui, ont essayé de découvrir ? Cette folie, sans l'élucider, Pierre Jean Jouve nous la raconte ici, notamment à travers le récit qu'a laissé Wilhelm Waiblinger de la visite qu'il rendit en 1822 à Hölderlin, cloîtré dans la maison du menuisier Zimmer de Tübingen. »
Source : France Culture.
12:18 Écrit par Frédéric Tison dans Marginalia, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 03 janvier 2018
La voix du poète
Pierre Jean Jouve lit un poème de Matière céleste (1937),
« Matière céleste dans Hélène ».
12:05 Écrit par Frédéric Tison dans Autour du livre, Marginalia | Tags : pierre jean jouve, voix, matière céleste | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 27 décembre 2017
Pourquoi quelque chose plutôt que rien ?
Je signale la parution, sur le blogue de l'artiste Damien Brohon,
d'une belle synthèse de deux interventions siennes :
Pourquoi quelque chose plutôt que rien ?
05:48 Écrit par Frédéric Tison dans Marginalia | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 12 octobre 2017
Le Temps
Portrait de l'auteur en jeune homme (1994).
08:48 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Marginalia | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 19 avril 2017
Ombres dans la rue
Je dépose rarement dans ces pages virtuelles une photographie qui n'est pas de moi — une fois n'est pas coutume. Mais j'aime tant ce cliché du photographe américain Roy Pinney, il me parle tant, que je ne résiste pas au plaisir de le partager ici. Il y a dans cette image un vrai regard sur notre monde moderne — la solitude au sein de la multitude dont parla si bien Baudelaire, le vertige et le temps ; et aussi, comme me le dit si justement une amie à qui je la montrai, un peu d'inquiétude...
Roy Pinney (1911-2010), New York, 1950. (Source.)
06:23 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Marginalia, Sur la photographie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 31 octobre 2015
Autoportrait traversé
Autoportrait de l'auteur dans une Eau claire, au jardin d'Albert Kahn,
à Boulogne-Billancourt, en ce jour
(clin d’œil amical à ceux de mes Lecteurs
qui se rendirent sur la page consacrée à quelques poèmes miens,
sur la page de la Revue Ce Qui Reste).
20:13 Écrit par Frédéric Tison dans Marginalia | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
mardi, 10 juin 2014
La chanson essentielle, évidemment
à ...
Odette Laure (1917-2004), "Allô, mon cœur" (1957).
21:25 Écrit par Frédéric Tison dans Marginalia | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |