Les voûtes d'ogives

 

 

 

 

 

Voûtes de la chapelle de l'Hôtel de Cluny (XVe s.),
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

« Au commencement était le Verbe »

 

 

 

 

 

Maître de Rieux, Saint Jean l'Évangéliste, détail,
provenant de la chapelle Notre-Dame de Rieux au couvent des Cordeliers de Toulouse
(vers 1333-1343),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

Autoportrait avec la Croix

 

 

 

 

 

 

Par Matfre Ermengau — ou Les armoiries énigmatiques

 

 

 

 

 

Manuscrit d'un poème de Matfre Ermengau (troubadour biterrois (en Occitanie), 1245-1322),
Breviari d'Amor (Bréviaire d'Amour) (vers 1360-1370),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

La Vierge, peut-être

 

 

 

 

 

Tête de femme (La Vierge Marie ?) (vers 1326-1350),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

La musique notée

 

 

 

 

 

Page d'un Bréviaire dominicain (vers 1330-1340),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

Le livre

 

 

 

 

 

Maître de Rieux, Saint François d'Assise, détail,
provenant de la chapelle Notre-Dame de Rieux au couvent des Cordeliers de Toulouse
(vers 1333-1343),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

Du chagrin

 

 

Les oiseaux — et tous les animaux — ont-ils des chagrins d'amour ?

 

 

 

Les yeux de saint François

 

 

 

 

 

Maître de Rieux, Saint François d'Assise, détail,
provenant de la chapelle Notre-Dame de Rieux au couvent des Cordeliers de Toulouse
(vers 1333-1343),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

Saint François

 

 

 

 

 

Maître de Rieux, Saint François d'Assise, détail,
provenant de la chapelle Notre-Dame de Rieux au couvent des Cordeliers de Toulouse
(vers 1333-1343),
à l'exposition "Toulouse 1300-1400. L'éclat d'un gothique méridional",
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

Les ailes vertes de l'ange

 

 

 

 

 

La Résurrection des morts, fragment d'un vitrail provenant de la Sainte-Chapelle de Paris
(réemploi d'un vitrail de la fin du XIIe s.),
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

Fleurs de lys d'or

 

 

 

 

Fragment d'un vitrail provenant de la Sainte-Chapelle de Paris (fin du XIIIe s.),
au musée de Cluny, musée national du Moyen Âge, à Paris V,
photographie : décembre 2022.

 

 

 

 

Du voyage

 

 

 

L'amour est si lointain qu'il en devient un voyage.

 

 

 

 

 

De quelques expositions

 

 

 

Les expositions temporaires du musée du Louvre sont souvent décevantes. Si celle qui est consacrée aux arts anciens de l'Ouzbékistan présente des pièces remarquables et m'a beaucoup appris, celle qui s'intitule "Les Choses" est un véritable "fourre-tout" dans lequel sont exposées des œuvres que l'on a déjà, pour la plupart d'entre elles, vues mille et une fois, au Louvre justement, ou au musée Picasso. Mais quelques tableaux (que je ne connaissais pas) méritent tout de même d'être contemplés. Cela dit, cette exposition n'est pas comparable à la pire de celles que j'ai visitées dans ce musée, "Une brève histoire de l'avenir", exposition organisée sous l'égide et l'inspiration de l'inénarrable Jacques Attali, en 2015 : c'était un véritable désastre, prétentieux, prétendument "pédagogique" (ah ! la pédagogie destinée aux adultes !) et paradoxalement extrêmement confus, la réunion de certaines œuvres apparaissant comme totalement arbitraire ; ce type d'exposition ressemble à s'y méprendre aux mauvaises notes de synthèse que je devais, lorsque j'étais professeur à l'IUFM de Paris, corriger laborieusement : approximations, contresens et verbiage y abondaient. Les expositions dites "thématiques" sont redoutables qui devraient, à mon sens, être bien plus rêveuses, bien davantage fécondes en rapprochements ; mais on ne me demande rien, puisque je ne suis pas un commissaire d'exposition et ne le serai jamais. Et pourtant, si on me laissait "carte blanche", comme on dit, quelle belle exposition proposerais-je ! (La première, je pense, s'intitulerait "Le Rêve d'une exposition" : c'est déjà mal parti, pour obtenir quelque subvention...)

 

 

 

 

D'un moine en particulier

 

 

 

Sans doute suis-je un moine, un moine urbain, caché dans la ville violente et indifférente.