Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 06 septembre 2022

In a bed in Yugoslavia

 

 

 

 

And Also The Trees, In a bed in Yugoslavia, dans l'album The Bone Carver (2022).

 

 

 

22:44 Écrit par Frédéric Tison dans Et aussi les arbres | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

D'une élégance

 

 

L'élégance est d'être suspendu.

 

 

 

16:18 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Chez Balzac

 

 

 

SAM_1577.JPG

 

La maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

 

lundi, 05 septembre 2022

Le chat dans l'escalier

 

 

 

frédéric tison,photographie

 

À Paris, photographie : septembre 2022.

 

 

 

 

14:51 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Une parution : "Écho, tes lèvres"

 

 

 

300948972_5819471171396517_5001384131039102224_n.jpg

 

Frédéric Tison, Écho, tes lèvres (2021), août 2022,
Chez l'auteur, 78 p., édition limitée,

avec un poème manuscrit de l'auteur,
prix : 150 euros.

 

 

 

14:43 Écrit par Frédéric Tison dans Livres parus, Une petite bibliothèque | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Regarder les mots

 

 

 

Il me semble que l'un des maux de notre temps (mais lui est-il propre ? Non, évidemment) est de n'être pas lu : nous écrivons des mots qui ne sont pas lus, nous parlons dans le vide, sur une page qui apparaît blanche aux yeux de ceux qui ne voient pas les mots. Nous avons beau écrire, mettre en toutes lettres quelque chose sur un support écrit, qu'il soit de papier ou virtuel : eh bien, non, nul ou presque ne lit ce que nous avons écrit : tel répond à côté de notre interrogation ou de nos propos, tel autre fait exactement le contraire de ce que nous lui avions demandé gentiment de faire, comme si nos mots pourtant limpides étaient brouillés, opaques, lointains, comme s'ils n'avaient jamais existé. Cela reste pour moi un mystère. On n'y voit rien est le titre d'un beau livre de Daniel Arasse sur la peinture ; il m'apparaît que celui-ci pourrait s'étendre à toute la langue.

Jamais, aujourd'hui, l'expression de lettre morte n'aura été aussi juste.

 

 

 

03:37 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

dimanche, 04 septembre 2022

Du Scherzo de Josef Suk

 

 

 

 

Josef Suk, Scherzo fantastique (1902-1903), Czech Philharmonic Orchestra dirigé par Charles Mackerras.

 

Du Scherzo de Josef Suk je n'ai jamais trouvé qu'il soit judicieux de l'appeler "fantastique", même s'il s'agit de l'extrait d'une suite symphonique issue d'une rêverie sur des contes, mais peut-être est-ce là que je songe trop à la Symphonie fantastique de Berlioz, et que j'écris là une sottise. Cependant voilà une musique somptueuse, déroutante, élégante (elle me fait songer à celle de Grieg, que j'aime tant), et dont certains passages sont d'une délicatesse inouïe qui donne envie de vivre et de mourir dans le même temps. Il y a même quelques oiseaux qui passent comme en frémissant, et s'en vont comme tous les oiseaux !

 

 

 

Des sons

 

 

 

Le contraste entre les sons que nous entendons est, parfois, à devenir fou : voici que j'écoute un chant adorable d'oiseau, au matin, et le camion rugissant du service indispensable des poubelles (cependant, anormalement bruyant à Paris, j'en ignore les raisons techniques) traverse la rue ; voici que j'écoute quelque symphonie de Sibelius, et quelqu'un, dans mon immeuble, faisant vibrer les murs, claque si violemment sa porte qu'on se croirait un instant dans l'antre des Nains du Nibelungen de Wagner ; voici que j'adore le silence enfin revenu, et la sonnerie du téléphone retentit (Heureusement, dans notre pauvre monde, la possibilité du "mode silencieux" est prévue (J'aurais jeté par la fenêtre mon téléphone portable si cette possibilité ne l'avait pas été)) ; voici que j'ouvre grand ma fenêtre pour regarder le ciel, et quelque clochard ivre trainant là, dans mon petit passage habituellement calme, se met à vociférer. Ô mon château solitaire sur une île au milieu d'un lac, où es-tu ?

 

 

 

07:08 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 03 septembre 2022

De Polybe

 

 

J'aime beaucoup Polybe, je partage ses vues. Lorsque je le lis, je suis en accord avec sa conception de la société des hommes, à savoir, en ce qui concerne le pouvoir, une sorte de mélange harmonieux entre monarchie, oligarchie et démocratie ; l'intelligence même. Aujourd'hui qu'avons-nous donc ? Des présidents ridicules, impuissants, soumis, qui se pavanent dans des comités ou des commissions flous, lesquels ne servent à rien d'autre qu'à bavasser et dont le résultat est : « HIIIIIHjkhjhkFKJHKJH oN EhN BhgEN AVhjkkhEYUTUUUUUU : mais pour l'utilité de nos pays des murises seront pruses. » Etc. Comme disent les hispanophones : tonterías...

 

 

 

 

23:58 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

De la difficulté

 

 

 

Il s'agit d'être une présence légère.

 

 

 

13:25 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Eugène de Rastignac

 

 

SAM_1601 b.JPG

 

Eugène de Rastignac, plaque (dessinée sur bois par Charles Huard (1874-1965)
et gravée par Pierre Gusman (1862-1941))
ayant illustré une des éditions du
Père Goriot de Balzac,
à la maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

La gueule et la moue

 

 

À « faire la gueule », j'ai toujours préféré l'expression bien moins vulgaire « faire la moue », même s'il existe là des nuances. Moi, je ne fais jamais la gueule. Je fais la moue.

 

 

 

 

13:10 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Raphaël de Valentin

 

 

 

SAM_1604 b.JPG

 

Raphaël de Valentin (l'un parmi mes personnages préférés !), 
plaque (dessinée sur bois par Charles Huard (1874-1965)
et gravée par Pierre Gusman (1862-1941))
ayant illustré une des éditions de
La Peau de chagrin de Balzac,
à la maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

Chez Balzac

 

 

 

SAM_1613.JPG

 

La maison de Balzac, à Paris XVI, photographie : août 2022.

 

 

 

Du secret

 

 

 

J'ai, dans mes chemises, quelques poèmes que jamais je ne ferai lire à quiconque ; j'en composerai d'autres de cet ordre. Je les rassemble en pensée dans un ouvrage que j'intitule Un Livre de secret (en songeant à Pétrarque, naturellement), et qui sera détruit lors de ma disparition. C'est là, parmi les notes du virtuel Carnet multiple qui constitue ce blogue, sa seule trace.

 

 

 

 

01:04 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |