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samedi, 20 mai 2017

Toute la pensée

 

 

 

Le désir de voyager est déjà un pays, est déjà mille paysages.

 

 

 

 

 

 

 

17:54 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Les arbres

 

 

 

 

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Étang de la Ganne, dans le Bourbonnais,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

 

vendredi, 19 mai 2017

L'eau claire

 

 

 

 

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Étang de la Ganne, dans le Bourbonnais,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

jeudi, 18 mai 2017

Ombres

 

 

 

 

frédéric tison,photographie,étang de la ganne

 

Étang de la Ganne, dans le Bourbonnais,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

mercredi, 17 mai 2017

Le plus beau, le plus élégant Concerto du monde ?

 à mes amis, et plus spécialement à Sylvie ***

 

 

 

 

Mozart, Concerto pour piano n° 22,
English Chamber Orchestra, piano : Murray Perahia (1977)

 

 

19:07 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Dernier regard sur une abbaye

 

 

 

 

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L'abbaye de Noirlac (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

mardi, 16 mai 2017

Le soleil

 

 

 

 

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Dans l'église abbatiale de l'abbaye de Noirlac (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

lundi, 15 mai 2017

L'espace

 

 

 

 

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Église abbatiale de l'abbaye de Noirlac (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

dimanche, 14 mai 2017

Sables mouvants

 

 

 

Il est peu d'interlocuteurs véritables ; mais soudain, il est quelqu'un qui s'interrompt, un instant, et parle et répond, avant de reprendre son chemin dans un monde où mille yeux pour un seul regard ont déjà passé, repris par les sables et les vents qui les avaient révélés.

 

 

 

17:51 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Le fort et le léger

 

 

 

 

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Cloître de l'abbaye de Noirlac (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

 

samedi, 13 mai 2017

Corps de pierre

 

 

 

 

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Cloître de l'abbaye de Noirlac, vu de la salle capitulaire (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

vendredi, 12 mai 2017

Lumières

 

 

 

 

Noirlac 2.JPG

 

 

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Cloître de l'abbaye de Noirlac (XIIe-XIVe s.), dans le Cher,
photographies : août 2016.

 

 

 

 

 

jeudi, 11 mai 2017

Vintage

 

 

 

 

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Dans le jardin de l'abbaye de Noirlac, dans le Cher,
photographie : août 2016.

 

 

 

 

 

mercredi, 10 mai 2017

D'une véritable et brûlante actualité

 

 

 

« Le poète de nos jours semble avoir écrit avec son sang : je ne jouerai pas le jeu que vous exigez ; je ne flatterai pas, je ne coïnciderai pas avec vous, ni par goûts ni par intérêts ordinaires ; je m’acharnerai à inventer quand vous ne voulez pas d’invention ; je porterai le message dont vous ne voulez rien entendre. Dès ce moment la situation de silence marque une défaite spirituelle plus générale.
Dès lors se produit sans doute la réaction des défenseurs de l’ordre ; leur silence, au temps de la publicité intellectuelle, est la grande arme d’animosité. Leur silence est éviction, silence d’un autre ordre. L’époque des procès littéraires pour outrage aux bonnes mœurs était plus favorable à l’écrivain. Subir l’éviction est la souffrance la plus dangereuse, comme un empoisonnement graduel des sources de la foi.
Des bandes se partagent aujourd’hui le commerce de la littérature. Elles pactisent entre elles, car elles sont engagées dans une opération unique contre la qualité. Leur solidarité s’exerce en vue de conquérir une définition, et une place, dans le grand cadre de la répétition. Leur littérature est chargée de faire dériver l’angoisse moderne, parvenue à un degré insupportable ; la platitude ou l’indécence du talent ne sauraient être assez grandes, pour endormir ici, et aggraver là les douleurs de la répétition.
Comment les hommes de telle fabrication salueraient-ils la Poésie, dont le mouvement est libre, péremptoire et insolite ? La principale détermination est la volonté de détruire ce que je nommais il y a un instant les sources de la foi. »

 

Pierre Jean Jouve, En miroir, journal sans date (1954)

 

 

 

09:34 Écrit par Frédéric Tison dans Album des phrases | Lien permanent | Commentaires (2) |  Facebook |

Le hourd

 

 

 

 

Culan 3 NB.jpg

 

Le château de Culan (XIIe-XVe s.), dans le Cher
(on aperçoit un hourd d'origine, au haut de la tour à gauche),
photographie : août 2016.