lundi, 29 mars 2021
La confidence dans la nuit douce
Et puis, la nuit est douce, tandis que ce soir j'écris, encore et encore. Je me souviens qu'un certain ***, à qui je confiais qu'un corps pouvait manquer, avait été, sottement selon moi, choqué par cette phrase. Mais bien sûr qu'un certain corps manque ! Son corps me manque —.
21:44 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, J'aurai aimé, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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