samedi, 19 décembre 2020
Du poème
Le poème oscille sans cesse entre la célébration et le manque ; son cœur est leur union.
06:45 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) |
Facebook |
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

































« Le jardin alpin (2) | Page d'accueil | Schumann, le chat et moi (1991) »
Le poème oscille sans cesse entre la célébration et le manque ; son cœur est leur union.
06:45 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) |
Facebook |
Commentaires
Magnifique formule qui sied à ton oeuvre.
Écrit par : Claire Boitel | samedi, 19 décembre 2020
Répondre à ce commentaireUn grand merci, chère Claire.
Écrit par : Frédéric Tison | samedi, 19 décembre 2020
Écrire un commentaire
NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.