jeudi, 29 octobre 2020
Je t'attends
Je t'attends, mon amour, qui es à quatre milliards d'années-lumière de moi.
21:58 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Commentaires
L'amour (non idéalisé) se trouve pourtant près de soi, encore faut-il en prendre conscience pour en ressentir les bienfaits : amour du jour qui se lève, des oiseaux qui chantent, d'un bon livre, d'une belle musique... Pas besoin d'attendre : vivre c'est aimer ! Sinon, on risque de passer sa vie dans une vaine attente... et donc dans la frustration, le ressentiment, le vide...
Écrit par : Madame Uke | vendredi, 30 octobre 2020
Répondre à ce commentaireChère madame Uke, il s'agit ici de l'amour d'un être humain. Eh non, l'arbre, l'oiseau, le ciel, nous laissent solitaire. Il faut accepter ce fait. Il faut accepter la réalité. La vraie.
Écrit par : Claire Boitel | dimanche, 01 novembre 2020
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