mercredi, 13 mai 2020
La fille du potier et son amant sur le point de partir
Joseph-Benoît Suvée (1743-1807), La Découverte de l'art du dessin (1791), détails,
au musée Groeninge (en néerlandais : Groeningemuseum),
musée des beaux-arts de Bruges, photographies : février 2019.
(Voir à ce sujet un passage de mon étude « Selon quelque visage » 
parue dans Les Hommes sans Épaules, n° 38, second semestre 2014.)
Pline l’Ancien raconte, au Livre XXXV de son Histoire naturelle, comment « Dibutades de Sicyone, potier de terre, fut le premier qui inventa, à Corinthe, l’art de faire des portraits avec cette même terre dont il se servait, grâce toutefois à sa fille : celle-ci, amoureuse d’un jeune homme qui partait pour un lointain voyage, renferma dans des lignes l’ombre de son visage projeté sur une muraille par la lumière d’une lampe » (Traduction d’Émile Littré, 1848).
07:40 Écrit par Frédéric Tison dans Musée d'un regard  | Tags : joseph-benoît suvée (1743-1807),  la découverte de l'art du dessin,  dibutades,  frédéric tison,  photographie | Lien permanent  | Commentaires (4)  | 
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Commentaires
Joli détail, belle ombre !
Écrit par : Un fervent admirateur | mercredi, 13 mai 2020
Répondre à ce commentaireUne merveille !
Écrit par : Frédéric Tison | jeudi, 14 mai 2020
Une merveille !
Écrit par : Frédéric Tison | jeudi, 14 mai 2020
Emouvant, même !
Écrit par : Un fervent admirateur | jeudi, 14 mai 2020
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