Les bateaux paisibles

 

 

 

 

 

Le port du Tréport, photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

 

Degrés

 

 

 

 

 

L'escalier, unique vestige de l'Hôtel Trianon (fin du XIXe siècle), à Tréport-Terrasse, 
détruit par les Allemands en 1941, au Tréport, photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

Vue des hauteurs

 

 

 

 

Le Tréport, vu de Tréport-Terrasse,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

Blanc, vert, rouge (et deux ombres)

 

 

 

 

La jetée, au Tréport, d'où fut prise en 2014 la photographie illustrant
la couverture de mon dernier livre paru,
Aphélie, suivi de Noctifer (Librairie-Galerie Racine,
coll. Les Hommes sans Épaules, 2018), photographie : septembre 2018.

 

 La notice de l'ouvrage sur le site de l'éditeur.

 

L'image de 2014 en grand format dans ma galerie de photographies sur Flickr.

 

 

 

 

La promenade nocturne parmi les lumières

 

 

 

 

 

Vue sur le port, l'église Saint-Jacques (XVIe s.)
et l'Hôtel de Calais (XIXe), au Tréport,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

La croix et le soleil d'un après-midi

 

 

 

 

 

Détail du Calvaire des Marins (inauguré en 1846), par Franconville, serrurier à Eu,
place de la Poissonnerie, au Tréport,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

Le désert

 

 

 

« La poésie est un langage en érection », écrivait le poète Georges Séféris, le mot d'érection étant à entendre, naturellement, en ses multiples sens. Il semble hélas que le simple fait d'être un auteur, ou celui qu'on l’apprenne soudain, fassent fuir ou effraient ; le poète et son poème forment un corps d'attente et de désir dans une chambre vide ou brusquement désertée.

 

 

 

La jetée

 

 

 

 

 

Au Tréport,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

Le rendez-vous

 

 

 

 

 

Vue sur le port, l'église Saint-Jacques (XVIe s.)
et l'Hôtel de Calais (XIXe), au Tréport,
photographie : septembre 2018.

 

Le souvenir.

 

 

Les milliers de galets

 

 

 

 

 

La plage et le phare, au Tréport, photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

La chambre, la vue et la clef

 

 

 

 

 

De la fenêtre de la chambre 43 de l'hôtel de Calais (XIXe s.),
ancien relai de poste, où séjourna Victor Hugo,
 au Tréport, photographies : septembre 2018.

 

 

 

 

 

 

 

Une note de lecture

 

 

Philippe Leuckx, dans le numéro 3 du Journal des Poètes (2019), me fait l'honneur d'une note de lecture critique de mon ouvrage Aphélie, suivi de Noctifer (paru dans la collection Les Hommes sans Épaules des éditions Librairie-Galerie Racine en février 2018) :

 

 

(Veuillez cliquer sur les images pour les agrandir.)

 

 

 

Effet de soleil

 

 

 

 

Claude Monet (1840-1926), Le Parlement de Londres, effet de soleil (1903),
à l'exposition « Impressionnistes à Londres : Artistes français en exil, 1870-1904 »,
au Petit Palais, à Paris VIII,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

L'allée des rhododendrons

 

 

 

 

 

Camille Pissarro (1830-1903), Jardin de Kew, à Londres ;
L'allée des rhododendrons (1892),
à l'exposition « Impressionnistes à Londres : Artistes français en exil, 1870-1904 »,
au Petit Palais, à Paris VIII,
photographie : septembre 2018.

 

 

 

 

Le silence appelé

 

 

 

 

 

James Tissot (1836-1902), Chut ! (Hush !) (1874),
à l'exposition « Impressionnistes à Londres : Artistes français en exil, 1870-1904 »,
au Petit Palais, à Paris VIII,
photographie : septembre 2018.