samedi, 13 avril 2019
Observatoire
J'observe, par ma fenêtre, un pigeon dérisoire posé sur le toit de l'immeuble d'en face. Un autre, qui s'était posé près de lui, vient de s'envoler. Les oiseaux sont seuls, tous, c'est une terrible évidence. Les oiseaux connaissent-ils la tristesse ?
20:12 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Commentaires
La solitude est-elle obligatoirement synonyme de tristesse, selon vous, cher Poète ?
Elle peut permettre de se ressourcer et d'apprécier davantage les moments de convivialité et d'échanges avec les autres !
L'oiseau qui s'envole est libre, il reviendra près de son congénère le moment venu !
Écrit par : Madame Uke | dimanche, 14 avril 2019
Répondre à ce commentaireC'est bien possible !
Écrit par : Frédéric Tison | dimanche, 14 avril 2019
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