mardi, 27 juin 2017
Les rares fois
Il arrive parfois que le Louvre soit presque désert — et que ne hantent ses salles que les seuls amoureux de l'art et de la beauté, silencieux ou chuchotant, tandis que, dans de discrets froissements, ils glissent lentement sur les dalles de marbre. Alors il semble que les œuvres respirent, qu'elles retrouvent le rêve qui fut leur origine, il semble qu'elles sont comme apaisées — Je dirais même : consolées.
05:20 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Musée d'un regard | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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