jeudi, 23 mars 2017
Le cœur empêché
Nul doute : ces lieux qui nous serrent le cœur à l'évocation de leur seul souvenir et de leur seule image sont ceux où nous devrions vivre, où nous aurions dû le faire, mais dont l'infortune nous aura privé à jamais. Là cependant est et sera notre être, là notre émotion, là notre forme.
20:23 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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