vendredi, 03 mars 2017
La passion
Je n'ai jamais lu que la poésie de Mallarmé était passionnée, elle dont est louée ou vilipendée la haute maîtrise — cependant elle l'est, secrètement, toujours, à jamais, même au sein de ses glaciers désirés.
05:45 Écrit par Frédéric Tison dans Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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