jeudi, 16 juin 2016
Sujets
Que, dans le poème, le "je", le "tu", le "vous" et le "nous" se parlent et se confondent ne doit pas étonner ; ils s'échangent parfois, si chaque homme ne sait, bien souvent, croyant parler de lui-même, qui il est, à cette heure et à ce moment — ni quelle voix le hante quand il vient de parler, ni d'où il vient de dire.
16:12 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Sur le poème | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Commentaires
On perçoit extrêmement bien ces échanges dans "le Dieu des Portes" !
Et c'est peut-être ce qui en fait la magie ?...
Écrit par : Madame Uke | samedi, 18 juin 2016
Ah, cela, ce n'est pas à moi de le dire... Merci de votre lecture.
Écrit par : Frédéric Tison | samedi, 18 juin 2016
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