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mardi, 17 mai 2016

Le sens

 

 

 

Ce n'est pas son luxe que j'aime d'un château, ce n'est pas la richesse qu'il suggère, ni même le prestige ou la gloire qu'il signale, c'est la haute idée que sa forme se fait de l'homme, en lui proposant une sculpture pour habitation — de grands escaliers pour ses pensées, de vastes salles pour son silence, des fenêtres ouvragées pour ses profonds regards, et des tours pour ses ciels, pour tout l'air qui traverse son corps et son esprit : cette image matérielle qui redouble, indique et sublime la présence d'un être pensant dans ce monde.

 

 

 

06:22 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (3) |  Facebook |

Commentaires

On reconnaît bien l'auteur de ces lignes.

Écrit par : Un fervent admirateur | mardi, 17 mai 2016

Ne les ai-je pas écrites devant tous les châteaux du monde ?

Écrit par : Frédéric Tison | mardi, 17 mai 2016

Certainement.

Écrit par : Un fervent admirateur | mardi, 17 mai 2016

Les commentaires sont fermés.