samedi, 23 mai 2015
Mozart, Ravel et l'oiseau du soir, à Paris
Il est des fins de journée où un oiseau, par la fenêtre, chante si haut, si simplement, si bellement, si lointainement, si gentiment, si merveilleusement ! que cela lui serait une injure, un véritable soufflet, que de recouvrir son chant par quelque mélodie d'un disque, fût-ce même pour écouter Mozart ou Ravel, ces autres oiseaux.
18:49 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Crayonné dans la marge | Tags : frédéric tison, note | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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