mardi, 09 décembre 2014
Allegretto grazioso
Wolfgang Amadeus Mozart,
Rondo pour piano et orchestre en ré majeur K. 382 - Allegretto grazioso,
Murray Perahia et l'English Chamber Orchestra.
Sans doute chacun le sait-il, en écoutant ce rondo, mais est-il une musique plus gracieuse et simple (divinement simple), évidente, élégante, voire élégantissime, subtile, légère et doucement mélancolique, et puissante et profonde, que celle-ci ? (À l'instant 3:50, c'est un miracle de beauté qui se renouvelle...) J'ai souvent pensé que même les oiseaux, qui en savent long sur le chant et la beauté, s'en enchanteraient, et qu'ils s'en enchantent, lorsqu'ils se posent sur la branche d'un arbre donnant sur la fenêtre ouverte d'une demeure où quelque être humain a choisi d'écouter ce morceau — alors ils en parlent entre eux, étonnés, amusés, complices... Peut-être même (si les ornithologues ont montré que leurs langages, patois et dialectes, se modifiaient et "évoluaient", selon) ce rondo a-t-il influencé le chant de quelques uns parmi eux.
19:51 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Commentaires
La grace ...
Écrit par : admirateur | mercredi, 10 décembre 2014
Elle-même !
Écrit par : Frédéric Tison | mercredi, 10 décembre 2014
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