dimanche, 30 novembre 2014
Pour des oiseaux qui vont bientôt se taire, pour quelque temps
Maurice Ravel, "Oiseaux tristes" (Miroirs, II, 1904-1905),
par le compositeur lui-même.
11:57 Écrit par Frédéric Tison dans Un concert sur un blogue | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
Commentaires
Pouvoir écouter une œuvre jouée par son compositeur est un des privilèges du progrès de la science !
Écrit par : Madame Uke | dimanche, 30 novembre 2014
Pour Ravel, c'est magnifique en effet ! Et je pense aussi à sa belle maison, le Belvédère, si miraculeusement préservée, que je vous conseille vivement de visiter. La postérité de ce génie, comme son souvenir, bénéficient d'un respect unique, et rare...
Écrit par : Frédéric Tison | dimanche, 30 novembre 2014
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