jeudi, 10 juillet 2014
En songeant à Erwin Schrödinger
La petite case affichant le nombre de visiteurs en ces parages, que j'eus naguère la coquetterie de faire figurer au haut de la colonne de gauche de ce blogue, permet également de savoir combien de visiteurs sont présents simultanément, au moment même de leur connexion. Mais j'y songe : nul ne peut voir inscrit le chiffre 0, puisqu'une personne connectée ici verra nécessairement le chiffre 1 s'afficher. Il est ainsi une page, sur ce blogue, qui existe et n'existe pas à la fois.
Ce blogue, je m'en avise, est donc quantique.
06:55 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook |
Commentaires
Ne songez pas à Schrödinger sans avoir une pensée émue et toute quantique pour Planck !
Écrit par : Denis | jeudi, 10 juillet 2014
Vous avez raison, je ne saurais oublier le découvreur du quantum ! Votre rappel était nécessaire.
Écrit par : Frédéric Tison | jeudi, 10 juillet 2014
Belle trouvaille d'associer votre blogue et la mécanique quantique ! Il fallait y penser !
Sans doute, un point commun entre le savant et le poète est une imagination sans limite...
Écrit par : Madame Uke | jeudi, 10 juillet 2014
Merci chère Madame, mais mes connaissances, si on peut les appeler ainsi, de la mécanique quantique, sont très limitées, et rêveuses. Je les ai puisées essentiellement dans le merveilleux petit ouvrage "Le Cantique des quantiques", qui a l'avantage, pour moi, de n'être pas truffé d'équations !
Écrit par : Frédéric Tison | jeudi, 10 juillet 2014
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