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mercredi, 28 juin 2023

De la danse

 

 

 

Danser au son d'une musique, c'est souligner doucement cette musique.

 

 

 

05:33 Écrit par Frédéric Tison dans Autour de la musique, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 23 juin 2023

Une note de lecture sur "La Demeure aux infinis"

 

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Voilà un recueil pour le moins étonnant parce qu’il nous sort du convenu, du réel cadré, balisé, attendu et qu’il explore avec une liberté certaine un imaginaire débridé, décomplexé. Les dessins de Damien Brohon font écho à la poésie de Frédéric Tison. Les soleils blancs, les torrents de lumières, les portes ou les béances laissent entrevoir une luminosité intense, tout un univers nouveau au sein duquel des bâtisses sont érigées et d’étranges personnages apparaissent. On croirait découvrir un ailleurs inconnu - le monde intérieur de Damien Brohon - et si l’on veut bien ouvrir un peu son esprit, on se laissera happer par la dimension cosmique qui émane de ces dessins. Les poèmes de Frédéric Tison évoquent, eux aussi, un cosmos singulier, abstrait où il est question d’un chemin « tremblant », « éparpillé », « imprécis », d’une marche « autour d’un infini », d’une « clef simple » que l’on trouve peut-être pour ouvrir une « serrure ouvragée », d’une possibilité d’avancer sur ce chemin à condition de ne pas être au devant de la scène car « s’effacer » nous dit le poète « fut notre lumière ». Et sans doute que la lumière représentée par Damien est ce chemin promis et poétisé par Frédéric. Sans doute aussi que ces constructions dessinées par Damien suggèrent cet « autre château de Beauté » qui « grandit » dans la poésie de Frédéric. Il faut entendre que cette « Demeure aux infinis » que l’on construit sur ce chemin est pétrie de beauté et d’imaginaire, que cette demeure est infinie parce qu’elle appartient et aux hommes et à Dieu. Les deux artistes touchent ainsi par le prisme de leur art à l’absolu, à l’indicible : ils nous proposent de sortir de notre condition pour côtoyer une autre dimension, un autre état, une autre forme. Et ils nous rappellent que l’humain ne se limite pas à son esprit cartésien et à sa matérialité.

         Rémi Madar, note sur Facebook,
                reproduite ici avec l'autorisation de l'auteur, 23 juin 2023.

 

 

 

15:51 Écrit par Frédéric Tison dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

De la surprise

 

 

Les "hétérosexuels" (mot hideux) pensent souvent que des "homosexuels" (mot hideux également) il s'agit de savoir qui, dans un couple stable ou impromptu et passager, est "actif" et "passif"—Trivialité, où l'on voit que la langue peut devenir hideuse même dans ses mots honorables, quand on les emploie ainsi.

Or, ce que j'aime, c'est la surprise.

 

 

 

15:14 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Nouvelles du fracas (10)

 

 

 

Ursula von Brushing a rencontré le prédisant de la France ; cent réunions sont prévues à l'issue de cette rencontre d'une extrême importance. Un sous-marin de millionnaires s'est abîmé auprès de l'épave du Titanic. Pendant ce temps, il pleut à Paris, puis règne un nuage, soudain, dans le ciel redevenu bleu.

 

 

 

 

12:39 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

De l'or minuscule

 

 

 

ll faut que je mette de petites taches d'or sur mes vêtements, la nuit, lorsque je dors.

 

 

 

 

06:48 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge, Minuscules | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 22 juin 2023

Tous les oiseaux

 

 

Tout à l'heure, j'écoutais le sublimissime "Lever du jour" du ballet Daphnis et Chloé de Maurice Ravel, et plusieurs oiseaux, tout petits, sont venus se poser sur la balustrade de la fenêtre de mon salon. Nous écoutions tous ensemble cette merveilleuse musique, et je pense que nous étions tous heureux, pour un moment.

 

 

 

Le navire effondré

 

 

 

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Frédéric Tison, Le Navire effondré,
encres sur papier Clairefontaine grain moyen 300 gr.,
14.8 x 21 cm, juin 2023.

 

 

 

 

13:14 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

mardi, 20 juin 2023

La fin du printemps

 

 

 

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Lors d'une promenade parisienne, photographie : juin 2023.

 

 

 

 

Rencontres au Marché de la poésie

 

 

 

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Au Marché de la poésie, place Saint-Sulpice, à Paris VI,
en compagnie de Fabienne Schmitt,
au stand 310 (éditions La Lucarne des écrivains)
pour une signature, entre autres ouvrages,
de
La Demeure aux infinis, photographie par *** : juin 2023.

 

 

 

dimanche, 18 juin 2023

Les lettres pensent avec d'illisibles caractères d'amour

 

 

 

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Frédéric Tison, Les Lettres pensent avec d'illisibles caractères d'amour,
encres sur papier Clairefontaine grain moyen 300 gr.,
14.8 x 21 cm, juin 2023.

 

 

 

 

20:54 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Cœurs de feuilles

 

Pour mon Père.

 

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Paris XII, photographie : juin 2023.

 

 

 

 

14:54 Écrit par Frédéric Tison dans Photographies solitaires | Tags : frédéric tison, photographie, paris | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Il y a un oiseau rose

 

 

 

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Frédéric Tison, Il y a un oiseau rose,
encres sur papier Clairefontaine grain moyen 300 gr.,
14.8 x 21 cm, juin 2023.

 

 

12:13 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

vendredi, 16 juin 2023

Un homme

 

 

 

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Frédéric Tison, Un Homme,
encres sur papier Clairefontaine grain moyen 300 gr.,
14.8 x 21 cm, juin 2023.

 

 

 

 

18:45 Écrit par Frédéric Tison dans Minuscules peintes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Du tôtif

 

 

Le malheur n'est pas qu'il soit parfois trop tard, mais qu'il soit toujours trop tôt.

 

 

 

18:33 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

jeudi, 15 juin 2023

Des larmes divines

 

 

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt quelques ouvrages de Hans Jonas. Le philosophe m'a étonné, et c'est ainsi qu'il m'arrive de penser que Dieu pleure.

 

 

 

07:20 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |